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Lyon, France (DANCE)

March 18

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DANCE
LUCINDA CHILDS    

Ballet de l’Opéra de Lyon / Théâtre de la Ville

LANCEMENT

RÉSERVATION
16—18mars

Biennale de danse du Val-de-Marne
création 2016

Ce ballet, créé en 1979, est considéré comme l’apogée de la danse post-moderne, un courant minimaliste qui dépouille la danse de sa virtuosité pour la ramener au langage intrinsèque du corps. Il marque la première grande collaboration majeure de Lucinda Childs avec le compositeur Philip Glass. (…)

Dance était cependant son premier grand spectacle, et jamais une pièce n’a autant mérité son titre. Interprétée par dix-sept danseurs qui glissent, sautent et virevoltent, la danse est ici la source d’un jaillissement euphorique sur les motifs répétitifs et progressivement décalés de la partition. La danse et la musique forment un flux dans lequel, selon les mots de Lucinda Childs, on a envie de ” se glisser “. (…)”Isabelle Calabre

Lucinda Childs est l’une des plus importantes chorégraphes américaines. Elle a commencé sa carrière en 1963 en tant que membre initiale du Judson Dance Theater de New York. Après avoir formé sa propre compagnie en 1973, Lucinda Childs a collaboré avec Robert Wilson et Philip Glass sur « Einstein on the Beach » en 1976. Elle y a participé en tant qu’interprète principale et chorégraphe solo, ce qui lui a valu un Obie Award. Lors des reprises de 1984 et 1992, elle a chorégraphié les deux « Field Dances », elle est de nouveau choisie comme interprète principale. Lucinda Childs a joué dans cinq des principales productions de Robert Wilson, notamment dans « La Maladie de la Mort » de Marguerite Duras face à Michel Piccoli, dans « I Was Sitting on my Patio This Guy Appeared I Thought I Was Hallucinating » face à Robert Wilson, dans « Quartett» de Heiner Muller, et dans « White Raven », l’opéra de Wilson et Glass. Depuis 1979, Childs a collaboré à une série de productions à grande échelle. « Dance », chorégraphiée en 1979 avec une musique de Philip Glass, continue de tourner. 
Le Washington Post a écrit : « une véritable percée, définissant pour nous de nouveaux modes de perception et de ressenti et appartenant autant à l’avenir qu’au présent. »

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